Pourquoi ?...

I - Pour toi... celle avec qui je vis !

Pour la femme pour qui je vis. Pour la colombe, la paix de ma vie. Cette histoire lui est dédicacé... Comme cette extrait de mon livre :

" Cette fille brillante et belle, ne me laissera jamais indifférent. Jamais de ma vie. Je lui serai fidèle, même dans l’ombre. Comme un ange gardien accomplissant la mission donnée par son cœur. Je resterai, pour toujours, l’homme qui fera tout pour la protéger. "

II - Tout un monde en tête !

Depuis l'année 2018, je développe le monde de Mort et Humains dans ma tête ! Devant des cartes, en écoutant de la musique orchestrale, je réfléchis à propos de toutes les scènes de cette histoire. Ceci me permet d'avoir de l'inspiration ! J'adore lorsque je fais ça, je me sens en accord avec ce que je suis : quelqu'un qui veut vivre de son imagination !

Sans être un expert, dans cette histoire, j'ai souhaité que la démographie soit la plus réaliste possible. J'ai souhaité aussi que le réalisme soit le plus présent possible... Bien-sûr, sans compter les morts-vivants et l'ennemi principal de l'histoire !
voici un petit extrait de ce monde :

" Avec le temps, notre influence auprès d'autres clans a été de plus en plus forte. Nous passions d'un village à une ville, nous passions de huit cents, à huit-mille. Les trois gamins que nous étions, sont les leaders de ce grand clan nommé Calvi.

Avec ce temps, l'anarchie laisse place à une vie paisible et insouciante. Notre peuple est grand, aussi grand qu'un petit pays se méfiant d'aucun tant sa puissance lui paraissait sans limite. "

III - Pour le courage et le sens de du sacrifice des personnages.

Ces deux valeurs sont, pour moi, magnifiques et permettent à la fois d'avancer et d'aider les autres.
Les personnages sont toujours présents entre eux.
Voici un court extrait de mon livre. C'est un enfant, de 9 ans, qui dit à sa sœur endormie que rien ne lui arrivera.

" Je suis là ma sœur. Rien ne t’arrivera tant que je respirerai le même air que le tien. Dort ma soeur. Dort tant que tu peux. Demain, nous serons toujours plus proches de notre but : cette bête. Comme des loups, nous la traquerons et la tuerons. Nous vengerons ceux qu’on a aimé, nous vengerons papa et maman, je te le jure Assya… "

IV - Evacuer mes émotions.

Pendant des années, j'ai été en dépression. J'ai retranscrit mes émotions dans l'écriture. Ce ne fut pas facile, parfois, mais j'ai réussi à trouver une sorte d'équilibre.

V - Une dénonciation de certains personnnages réels.

Le zombie, dans cette histoire, est le reflet de personnes réelles. Je compare le mort-vivant avec des personnages ayant des tendances perverses, violentes, manipulatrices et très dangereuses.
De part mon experience, je fais l'éloge de l'humanité. D'une humanité bienveillante, parfois maladroite, mais toujours bienveillante face à l'ennemi mort-vivant.
Dans cette histoire, le monde post-apocalyptique permet de refléter les véritables visages de chaque personnage.
Je cherche à dénoncer les faits horribles dont peuvent être capables les personnages réels, incarnés par les morts-vivants.
Je partage un extrait de cette comparaison :

" Quinze mètres. Curiosité malsaine. Déni de ce début de scène. Quelqu'un marche. La tête baissée vers la terre. Ne me vois pas encore. Hormis ce détail, il a l'air normal, à ce moment-là, comme la naïveté d’un enfant, j'ai du mal à croire que cette chose n'est pas humaine.

Monsieur ?

Il lève légèrement la tête et lentement. Ne cherchant pas à comprendre, il vient vers moi.
Je me dis que ça va aller, qu'il a l'air désorienté et mal en point, comme fiévreux.
Dix mètres. Le stress et la peur montent. Je me crispe. Il semble vide et antipathique. Me regarde des pieds, des genoux, de l'entrejambe, du ventre à ma tête et malheureusement : il continue.
Cinq mètres. Les yeux rouges. Envie irrépressiblement irrésistible chez cette personne dont le visage s'éclairera. Il a envie d'assouvir un fantasme personnel. La bouche s'ouvre progressivement. Passe de petite à grosse. La peur m'envahit totalement, le ventre entre en ébullition. Il va percer ma peau ? Mon intimité ? Mon corps ?
Un mètre. Les bras levés. Grognement malsain et cris d'envi strident, révélation d'une scène surréaliste et anormale. Le masque tombe. Cette personne n’est plus humaine, mais je reste inerte. Je vais me détester. Vais-je laisser ma crispation m'anéantir ? Vais-je pourrir de l'intérieur ? Et me laisser mourir lentement ?
Il s'abat sur moi. L'iris rouge et pupille dilaté de drogue sanguinaire. Je me réveille et réalise ce qu'est cette chose. "